|
|
|
|
mes image (31/08 14:53)
Je viens ici pour l'amitié tout simplement et surtout pas pour la guerre des blogs. Non plus pour des imbéciles qui te font croire qui sont des amis sincères et sans pudeur te salissent derrière ton dos comme certains. J'ai construis un blog pour l'amitié sincère et durable pour les bons et les mauvais moments de la vie de chacun et sans hypocrisie. Je suis là tout simplement pour aimer et être aimée…Mon amitié est sincère. Je suis une femme qui n'aime pas les guerres sur les blogs ni les embrouille et je ne veux pas que l'on m'en procure. Ceux qui viennent pour poser des problèmes sans les avertir je les exclu de mon univers sans détour et sans pitié. Je voudrai aussi éviter les chaines, sauf évidemment les articles à faire suivre pour les malades. °*°*Ce sont mes amis qui m'ont fait aimer la vie. Ils me rendent meilleur à mesure que je les trouve meilleurs eux-mêmes... °*°* Amour...Amitié…Fraternité…Partage Merci à vous et bonne visite, merci de votre compréhension, Barbara…

SI TU ES UNE VRAIE AMIE TU PEUX FAIRE CELA: UNE PERSONNE HANDICAPEE N'EST PAS CONTAGIEUSE ELLE DEMANDE JUSTE QU'ON L'ACCEPTE TELLE QU'ELLE EST DANS LA SOCIETE. 97%DES PERSONNES NE COPIERONT PAS CETTE ANNONCE ET NE L'UTILISERONT PAS COMME STATUT, SERAS TU COMME MOI L'UNE DES 3% A AFFICHER CE STATUT AU MOINS PENDANT 1HEURE SUR TON BLOG OU SUR TON PROFIL
Samira et Barbara amies pour la vie...











































































| |
|
|
|
|
|
|
|
|
|
Comme un drapé sur une épaule
23/10/2005 15:21
Comme un drapé sur une épaule Un regard perlé de larmes salés Un horizon bien trop profond Un ciel d’azur si pur
C’est l’heure calme L’heure de la veillée La cheminée anime mes larmes Ses yeux brillants qui doucement Brûlent en dedans Le firmament
Regard d’acier regard usé A force de capter les idées noires Un peu de brouillard Il est si tard
Et puis lentement le ciel flamboie C’est une étoile de cristal Une arme fatale remplie d’éclat Un doux sourire murmure tout bas Frisson de toi emporte moi
Ce sont tes bras comme une étole Un abri dans le vertige des embruns La lame de fond emporte mon âme Je suis à toi murmure la voix
Comme un drapé sur une épaule Un regard perlé de larme salé Un horizon bien trop profond Un ciel d’azur si pur
| |
|
|
|
|
|
|
|
Apprenons à vivre pleinement!!
23/10/2005 15:01
Il meurt lentement Celui qui ne voyage pas, Celui qui ne lit pas, Celui qui n’écoute pas de musique, Celui qui ne sait pas trouver grâce à ses yeux.
Il meurt lentement Celui qui détruit son amour-propre, Celui qui ne se laisse jamais aider .
Il meurt lentement Celui qui devient esclave de l’habitude, Refaisant tous les jours les mêmes chemins, Celui qui ne change jamais de repère, Ne se risque jamais à changer la couleur De ses vêtements! Ou qui ne parle jamais à un inconnu.
Il meurt lentement Celui qui évite la passion et son tourbillon d’émotions, celles qui redonnent la lumière dans les yeux et réparent les cœurs blessés
Il meurt lentement Celui qui ne change pas de cap Lorsqu’il est malheureux Au travail ou en amour, Celui qui ne prend pas de risques Pour réaliser ses rêves, Celui qui, pas une seule fois dans ça vie, N’a fui les conseils sensés !!
Vis maintenant!
Risque toi aujourd’hui!
Agis tout de suite!
Ne te laisse pas mourir lentement! Ne te prive pas d’être heureux!
Pablo Neruda, prix Nobel de Littérature 1971.
| |
|
|
|
|
|
|
|
Elle passait et repassait ses pensées
23/10/2005 14:14
Elle passait et repassait ses pensées Le film de sa vie s’était cassé Les oiseaux ne chantaient plus Son sourire semblait éteint Plus rien
Elle sentait son ventre vide Elle écoutait le ciel se désespérer Elle l’avait vendu Son enfant Cet être qu’elle avait porté Dans son ventre son bébé Ses premiers pas qu’elle ne verrait pas Ses premiers cris qu’elle n’écouterait pas Son bébé Avait disparu
Elle sentait ce ventre vide Ce ventre qui servait de nid Son petit S’était enfuit Non elle l’avait trahit
Elle était devenu une esclave De sa nuit Elle s’enfonçait seule Dans son corps meurtris Le ciel était devenu orage Sa rage était devenu ciel Elle regardait ses nuages Elle regardait s’enfuir Sa vie
| |
|
|
|
|
|
|
|
Demain, dès l'aube...
23/10/2005 14:01
Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne, Je partirai. Vois-tu, je sais que tu m'attends. J'irai par la forêt, j'irai par la montagne. Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.
Je marcherai les yeux fixés sur mes pensées, Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit, Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées, Triste, et le jour pour moi sera comme la nuit.
Je ne regarderai ni l'or du soir qui tombe, Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur, Et quand j'arriverai, je mettrai sur ta tombe Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur
Victor Hugo
| |
|
|
|
|